PURE
Créateurs de vie
Créateurs de villes
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Découvrez les grands principes du projet PURE ainsi que les solutions envisagées pour rénover le patrimoine urbain, loger et réussir la transition énergétique
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Participer
Villes, investisseurs, entreprises, citoyens, participez à l’aventure PURE et investissez dans un avenir durable
Apport de capital et d’investisseurs là ou les idées ne suffisent pas
Villes de tailles moyennes aux quartiers à rénover
Besoin de logements sur les territoires malgré les contraintes
Premier acteur post-ZAN dans l’immobilier
Besoins de logements dans un monde sans foncier
“Les bâtiments évoluent. Aucun château encore sur pieds n’a été ainsi inauguré. Il a été transformé par les contraintes du temps”
A propos
Pure, du latin purus signifie “sans tache”, “sans souillure”, “propres”, “net”. La ville de demain c’est ainsi que nous l’imaginons. Sans souillure, propre, nette. Notre intervention, c’est ainsi que nous l’opérons : sans tâches.
Pure est un projet visionnaire qui revitalise et transforme les quartiers sous-cotés des villes moyennes françaises en communautés durables, écoresponsables et harmonieuses.
Pure crée de nouveaux lieux de vie en se concentrant sur la réhabilitation du parc résidentiel ancien. Objectif ZAN respecté. Nous redéfinissons l'avenir des villes moyennes françaises et plaçons la durabilité et le bien-être au cœur.
Pure accélère la rénovation énergétique, améliore le standing des actifs tout en générant de la valeur à long terme pour les investisseurs et les résidents.
Pure créé des communautés, travaille avec les municipalités pour réhabiliter et valoriser les parcs immobiliers anciens. Notre modèle est disruptif : collecter des capitaux privés, rénover les coeurs de ville, protéger le patrimoine et développer le logement de demain.
Manifesto
Qu’est-ce que la ville ?
Plus jeune, je me souviens des revendications de mes camarades pour défendre leur ville, leur « territoire » face aux copains d’en face. La ville était alors ce lieu en commun qui permettait de s’identifier à un groupe, à une unité.
La ville, c’est un milieu où se concentre une population qui organise son espace en fonction de son environnement et en fonction de ses besoins. Du latin villa, « propriété rurale » puis « groupe de maisons adossés à la villa », le « village », il désigne aujourd’hui le regroupement plus important de population. Finalement, c’est l’agglomérations d’Humains sur un espace vécu qui crée la ville. Babel, Babylone, Jérusalem, l’histoire du monothéisme décrit d’ailleurs la ville comme le lieu pour permettre à l’homme de faire société, par opposition au nomadisme et aux modes de vie des « barbares ».
Le Livre parle même de la Jérusalem céleste comme paradis (…) la ville toujours. Au-delà de cette approche religieuse, l’histoire des premières villes se trouve dans l’actuelle Ukraine. Ce sont plus de 15 000 personnes qui vivent alors au sein d’un même espace. 1500 ans plus tard, on retrouve les traces de grandes villes autour du fertile croissant de la Mésopotamie.
Cette spécificité géographique, avec un point d’eau et une ressource naturelle abondante rappelle l’un des facteurs communs à la création des villes :proximité avec un cours d’eau ou une mer, lieu propice à une activité commerciale ou industrielle, position stratégique et militaire, lieu bâti par un conquérant, etc. En effet, la ville est une réalité économique. Elle permet l’accumulation de richesses et la division du travail. La spécialisation dans l’artisanat, le commerce puis les charges administratives, religieuses et militaires font la ville.
Elle se définit également par des éléments précis qui ont traversé les siècles et les cultures. Que l’on pense aux délimitations : hier, un fossé, une enceinte, aujourd’hui une rocade, un périphérique, demain un péage urbain, digne héritier de la banalité seigneuriale. Surtout la ville créée l’espace public, partagé, en commun, adapté à la vie commune.
Finalement, la ville c’est un projet commun entre des populations qui auraient pu ne pas vivre ensemble. Cette organisation ne va cesser de croître jusqu’à transformer à partir de 2008, plus de la moitié des habitants de la planète en citadins.
L’exode rural, porteur d’espérances permettait de s’émanciper loin du travail de la terre. Cette aspiration demeure, mais la réalité est plus complexe. Devenue agglomération, la ville se dilue, se dissèque en micro-quartiers. On parle d’aire urbaine, de zone, d’étalement. Cette évolution n’est pas qu’un phénomène de massification. Elle interroge le fait de ville, la volonté de faire ensemble, le concept d’espace public et le renforcement des inégalités.
Du Nord au Sud, on observe un étalement urbain. Qui des surbubs et gated communites. Qui des banlieues et du périurbain ou un ancien cœur de village devient cité dortoir. Qui des kilomètres de bidonvilles d’où le centre de la ville parait désormais si lointain.
Cette impression de renoncement à penser la ville et son organisation transparait à travers le monde. Infrastructures de transports vieillissantes, gestion d’un territoire à l’échelle du plus petit dénominateur. Il manque une politique de l’aménagement et du projet commun.
La ville est une matière vivante, si elle n’est pas travaillée, elle se dissout, derrière les intérêts particuliers, la loi du plus fort, celle du plus riche. Voilà un programme de société pour le politique qui dessine l’avenir d’une population et le destin d’un territoire.
De nouvelles réglementations strictes
Loi “Climat et résilience” du 22 août 2021 a fixé un double objectif:
Cet objectif louable amène à prendre en compte une nouvelle façon de créer du logement nécessaire
Une pénurie de logements sains
Les acteurs du logement doivent trouver de nouvelles sources pour construire du logement adapté aux modes de vie et à la qualité environnementale
L’habitat indigne dans les anciens cœur de ville représente les pépites foncières de demain : vieux immeubles, centres commerciaux, parkings, maisons à l’abandon.
5 millions de logements nécessaires sur 10 ans
4,15 millions de personnes mal logées
200 000 copropriétés sont menacées par l’insalubrité
“Il n’existe aucune fatalité à laisser le patrimoine disparaître. L’argent existe et nous la mettons au service de votre projet. ”
Nos zones d‘intervention
Nos outils
commerces
Notre méthode
la rénovation
“Réhabiliter les coeurs de ville, c’est permettre à l’histoire de notre pays de continuer d’exister demain ”
Conseiller
Évaluer la situation, proposer des solutions pour améliorer votre centre-ville
Auditer le territoire et proposer des formules de valorisation patrimoniale
Apporter un conseil territorial et AMO qui s’appuie sur des acteurs qualifiés de l’immobilier
Élaborer un projet de revitalisation
Investir
Financer la transformation de votre coeur de ville et l’installation de commerces pour devenir coeur de vie
Offrir un modèle rentable et attractif
Apporter une solution RSE, patrimoniale et engagée
Créer un engagement territorial et patrimonial qui crée de la valeur
Transformer
Rénover les immeubles d’un centre-ville dégradé
Installer des commerces et lieux de vie
Réhabiliter un quartier pour en faire le coeur de vie
Redonner ses honneurs à votre patrimoine
Qu’est-ce qu’une ville en réalité ?
Plus jeune, je me souviens des revendications de mes camarades pour défendre leur ville, leur « territoire » face aux copains d’en face. La ville était alors ce lieu en commun qui permettait de s’identifier à un groupe, à une unité.
La ville, c’est un milieu où se concentre une population qui organise son espace en fonction de son environnement et en fonction de ses besoins. Du latin villa, « propriété rurale » puis « groupe de maisons adossés à la villa », le « village », il désigne aujourd’hui le regroupement plus important de populations. Finalement, c’est l’agglomérations d’Humains sur un espace vécu qui crée la ville. Babel, Babylone, Jérusalem, l’histoire du monothéisme décrit d’ailleurs la ville comme le lieu pour permettre à l’homme de faire société, par opposition au nomadisme et aux modes de vie des « barbares ». Le Livre parle même de la Jérusalem céleste comme paradis (…) la ville toujours.
Au-delà de cette approche religieuse, l’histoire des premières villes se trouve dans l’actuelle Ukraine. Ce sont plus de 15 000 personnes qui vivent alors au sein d’un même espace. 1500 ans plus tard, on retrouve les traces de grandes villes autour du fertile croissant de la Mésopotamie. Cette spécificité géographique, avec un point d’eau et une ressource naturelle abondante rappelle l’un des facteurs communs à la création des villes : proximité avec un cours d’eau ou une mer, lieu propice à une activité commerciale ou industrielle, position stratégique et militaire, lieu bâti par un conquérant, etc. En effet, la ville est une réalité économique. Elle permet l’accumulation de richesses et la division du travail. La spécialisation dans l’artisanat, le commerce puis les charges administratives, religieuses et militaires font la ville.
Elle se définit également par des éléments précis qui ont traversé les siècles et les cultures. Que l’on pense aux délimitations : hier, un fossé, une enceinte, aujourd’hui une rocade, un périphérique, demain un péage urbain, digne héritier de la banalité seigneuriale.
Surtout la ville créée l’espace public, partagé, en commun, adapté à la vie commune. Finalement, la ville c’est un projet commun entre des populations qui auraient pu ne pas vivre ensemble. Cette organisation ne va cesser de croître jusqu’à transformer à partir de 2008, plus de la moitié des habitants de la planète en citadins.
L’exode rural, porteur d’espérances permettait de s’émanciper loin du travail de la terre. Cette aspiration demeure, mais la réalité est plus complexe. Devenue agglomération, la ville se dilue, se dissèque en micro-quartiers. On parle d’aire urbaine, de zone, d’étalement. Cette évolution n’est pas qu’un phénomène de massification. Elle interroge le fait de ville, la volonté de faire ensemble, le concept d’espace public et le renforcement des inégalités. Du Nord au Sud, on observe un étalement urbain. Qui des surbubs et gated communites. Qui des banlieues et du périurbain ou un ancien cœur de village devient cité dortoir. Qui des kilomètres de bidonvilles d’où le centre de la ville parait désormais si lointain.
Cette impression de renoncement à penser la ville et son organisation transparait à travers le monde. Infrastructures de transports vieillissantes, gestion d’un territoire à l’échelle du plus petit dénominateur. Il manque une politique de l’aménagement et du projet commun. La ville est une matière vivante, si elle n’est pas travaillée, elle se dissout, derrière les intérêts particuliers, la loi du plus fort, celle du plus riche. Voilà un programme de société pour le politique qui dessine l’avenir d’une population et le destin d’un territoire.