PURE

Créateurs de vie

Créateurs de villes


01

Plongez dans les sources de la création du projet PURE et ses ambitions

02


Découvrez les grands principes du projet PURE ainsi que les solutions envisagées pour rénover le patrimoine urbain, loger et réussir la transition énergétique

03


PURE propose 3 métiers pour répondre aux défis de la ville de demain

04

Participer


Villes, investisseurs, entreprises, citoyens, participez à l’aventure PURE et investissez dans un avenir durable

Apport de capital et d’investisseurs là ou les idées ne suffisent pas

Villes de tailles moyennes aux quartiers à rénover

Besoin de logements sur les territoires malgré les contraintes

Premier acteur post-ZAN dans l’immobilier

Besoins de logements dans un monde sans foncier

“Les bâtiments évoluent. Aucun château encore sur pieds n’a été ainsi inauguré. Il a été transformé par les contraintes du temps”

A propos

Pure, du latin purus signifie sans tache”, “sans souillure”, “propres”, “net”. La ville de demain c’est ainsi que nous l’imaginons. Sans souillure, propre, nette. Notre intervention, c’est ainsi que nous l’opérons : sans tâches.


Pure est un projet visionnaire qui revitalise et transforme les quartiers sous-cotés des villes moyennes françaises en communautés durables, écoresponsables et harmonieuses.


Pure crée de nouveaux lieux de vie en se concentrant sur la réhabilitation du parc résidentiel ancien. Objectif ZAN respecté. Nous redéfinissons l'avenir des villes moyennes françaises et plaçons la durabilité et le bien-être au cœur.


Pure accélère la rénovation énergétique, améliore le standing des actifs tout en générant de la valeur à long terme pour les investisseurs et les résidents.



Pure créé des communautés, travaille avec les municipalités pour réhabiliter et valoriser les parcs immobiliers anciens. Notre modèle est disruptif : collecter des capitaux privés, rénover les coeurs de ville, protéger le patrimoine et développer le logement de demain.


Manifesto


Qu’est-ce que la ville ?


Plus jeune, je me souviens des revendications de mes camarades pour défendre leur ville, leur « territoire » face aux copains d’en face. La ville était alors ce lieu en commun qui permettait de s’identifier à un groupe, à une unité.


La ville, c’est un milieu où se concentre une population qui organise son espace en fonction de son environnement et en fonction de ses besoins. Du latin villa, « propriété rurale » puis « groupe de maisons adossés à la villa », le « village », il désigne aujourd’hui le regroupement plus important de population. Finalement, c’est l’agglomérations d’Humains sur un espace vécu qui crée la ville. Babel, Babylone, Jérusalem, l’histoire du monothéisme décrit d’ailleurs la ville comme le lieu pour permettre à l’homme de faire société, par opposition au nomadisme et aux modes de vie des « barbares ».


Le Livre parle même de la Jérusalem céleste comme paradis (…) la ville toujours. Au-delà de cette approche religieuse, l’histoire des premières villes se trouve dans l’actuelle Ukraine. Ce sont plus de 15 000 personnes qui vivent alors au sein d’un même espace. 1500 ans plus tard, on retrouve les traces de grandes villes autour du fertile croissant de la Mésopotamie.


Cette spécificité géographique, avec un point d’eau et une ressource naturelle abondante rappelle l’un des facteurs communs à la création des villes :proximité avec un cours d’eau ou une mer, lieu propice à une activité commerciale ou industrielle, position stratégique et militaire, lieu bâti par un conquérant, etc. En effet, la ville est une réalité économique. Elle permet l’accumulation de richesses et la division du travail. La spécialisation dans l’artisanat, le commerce puis les charges administratives, religieuses et militaires font la ville.


Elle se définit également par des éléments précis qui ont traversé les siècles et les cultures. Que l’on pense aux délimitations : hier, un fossé, une enceinte, aujourd’hui une rocade, un périphérique, demain un péage urbain, digne héritier de la banalité seigneuriale. Surtout la ville créée l’espace public, partagé, en commun, adapté à la vie commune.


Finalement, la ville c’est un projet commun entre des populations qui auraient pu ne pas vivre ensemble. Cette organisation ne va cesser de croître jusqu’à transformer à partir de 2008, plus de la moitié des habitants de la planète en citadins.


L’exode rural, porteur d’espérances permettait de s’émanciper loin du travail de la terre. Cette aspiration demeure, mais la réalité est plus complexe. Devenue agglomération, la ville se dilue, se dissèque en micro-quartiers. On parle d’aire urbaine, de zone, d’étalement. Cette évolution n’est pas qu’un phénomène de massification. Elle interroge le fait de ville, la volonté de faire ensemble, le concept d’espace public et le renforcement des inégalités.


Du Nord au Sud, on observe un étalement urbain. Qui des surbubs et gated communites. Qui des banlieues et du périurbain ou un ancien cœur de village devient cité dortoir. Qui des kilomètres de bidonvilles d’où le centre de la ville parait désormais si lointain.


Cette impression de renoncement à penser la ville et son organisation transparait à travers le monde. Infrastructures de transports vieillissantes, gestion d’un territoire à l’échelle du plus petit dénominateur. Il manque une politique de l’aménagement et du projet commun.


La ville est une matière vivante, si elle n’est pas travaillée, elle se dissout, derrière les intérêts particuliers, la loi du plus fort, celle du plus riche. Voilà un programme de société pour le politique qui dessine l’avenir d’une population et le destin d’un territoire.

De nouvelles réglementations strictes


Loi “Climat et résilience” du 22 août 2021 a fixé un double objectif:


  • Diviser par deux le rythme de bétonisation entre 2021 et 2031 par rapport à la décénnie précédente (de 250 000 à 125 000 hectares)


  • Atteindre d’ici à 2050 zéro artificialisation nette, c’est à dire au moins autant de surfaces renaturées que de surfaces artificialisées

Cet objectif louable amène à prendre en compte une nouvelle façon de créer du logement nécessaire


Une pénurie de logements sains


Les acteurs du logement doivent trouver de nouvelles sources pour construire du logement adapté aux modes de vie et à la qualité environnementale



L’habitat indigne dans les anciens cœur de ville représente les pépites foncières de demain : vieux immeubles, centres commerciaux, parkings, maisons à l’abandon.




5 millions de logements nécessaires sur 10 ans

4,15 millions de personnes mal logées

200 000 copropriétés sont menacées par l’insalubrité



“Il n’existe aucune fatalité à laisser le patrimoine disparaître. L’argent existe et nous la mettons au service de votre projet. ”

Nos zones d‘intervention


  • Au coeur des régions


  • Ville de taille moyenne


  • Entrée de ville


  • Centre ville


  • Coeur historique


  • Patrimoine local


Nos outils


  • Etat des lieux d’un patrimoine


  • Evaluation des faisabilités et de la durée


  • Restructuration et rénovation


  • Stratégie de création d’une vie de quartier


  • Transformation du quotidien et retour des

commerces


Notre méthode

  • Création du projet avec le maire et la ville


  • Mobilisation de capitaux privés afin de financer

la rénovation


  • Financement de la transformation du cadre de vie


  • Organisation des travaux


  • Rayonnement du coeur patrimonial d’une ville


“Réhabiliter les coeurs de ville, c’est permettre à l’histoire de notre pays de continuer d’exister demain ”

LES MÉTIERS DE PURE

Conseiller

Évaluer la situation, proposer des solutions pour améliorer votre centre-ville

Auditer le territoire et proposer des formules de valorisation patrimoniale


Apporter un conseil territorial et AMO qui s’appuie sur des acteurs qualifiés de l’immobilier

Élaborer un projet de revitalisation

Investir

Financer la transformation de votre coeur de ville et l’installation de commerces pour devenir coeur de vie

Offrir un modèle rentable et attractif


Apporter une solution RSE, patrimoniale et engagée


Créer un engagement territorial et patrimonial qui crée de la valeur



Transformer

Rénover les immeubles d’un centre-ville dégradé


Installer des commerces et lieux de vie


Réhabiliter un quartier pour en faire le coeur de vie


Redonner ses honneurs à votre patrimoine


LES IDÉES DE PURE

Qu’est-ce qu’une ville en réalité ?



Plus jeune, je me souviens des revendications de mes camarades pour défendre leur ville, leur « territoire » face aux copains d’en face. La ville était alors ce lieu en commun qui permettait de s’identifier à un groupe, à une unité.


La ville, c’est un milieu où se concentre une population qui organise son espace en fonction de son environnement et en fonction de ses besoins. Du latin villa, « propriété rurale » puis « groupe de maisons adossés à la villa », le « village », il désigne aujourd’hui le regroupement plus important de populations. Finalement, c’est l’agglomérations d’Humains sur un espace vécu qui crée la ville. Babel, Babylone, Jérusalem, l’histoire du monothéisme décrit d’ailleurs la ville comme le lieu pour permettre à l’homme de faire société, par opposition au nomadisme et aux modes de vie des « barbares ». Le Livre parle même de la Jérusalem céleste comme paradis (…) la ville toujours.


Au-delà de cette approche religieuse, l’histoire des premières villes se trouve dans l’actuelle Ukraine. Ce sont plus de 15 000 personnes qui vivent alors au sein d’un même espace. 1500 ans plus tard, on retrouve les traces de grandes villes autour du fertile croissant de la Mésopotamie. Cette spécificité géographique, avec un point d’eau et une ressource naturelle abondante rappelle l’un des facteurs communs à la création des villes : proximité avec un cours d’eau ou une mer, lieu propice à une activité commerciale ou industrielle, position stratégique et militaire, lieu bâti par un conquérant, etc. En effet, la ville est une réalité économique. Elle permet l’accumulation de richesses et la division du travail. La spécialisation dans l’artisanat, le commerce puis les charges administratives, religieuses et militaires font la ville.

Elle se définit également par des éléments précis qui ont traversé les siècles et les cultures. Que l’on pense aux délimitations : hier, un fossé, une enceinte, aujourd’hui une rocade, un périphérique, demain un péage urbain, digne héritier de la banalité seigneuriale.


Surtout la ville créée l’espace public, partagé, en commun, adapté à la vie commune. Finalement, la ville c’est un projet commun entre des populations qui auraient pu ne pas vivre ensemble. Cette organisation ne va cesser de croître jusqu’à transformer à partir de 2008, plus de la moitié des habitants de la planète en citadins.


L’exode rural, porteur d’espérances permettait de s’émanciper loin du travail de la terre. Cette aspiration demeure, mais la réalité est plus complexe. Devenue agglomération, la ville se dilue, se dissèque en micro-quartiers. On parle d’aire urbaine, de zone, d’étalement. Cette évolution n’est pas qu’un phénomène de massification. Elle interroge le fait de ville, la volonté de faire ensemble, le concept d’espace public et le renforcement des inégalités. Du Nord au Sud, on observe un étalement urbain. Qui des surbubs et gated communites. Qui des banlieues et du périurbain ou un ancien cœur de village devient cité dortoir. Qui des kilomètres de bidonvilles d’où le centre de la ville parait désormais si lointain.


Cette impression de renoncement à penser la ville et son organisation transparait à travers le monde. Infrastructures de transports vieillissantes, gestion d’un territoire à l’échelle du plus petit dénominateur. Il manque une politique de l’aménagement et du projet commun. La ville est une matière vivante, si elle n’est pas travaillée, elle se dissout, derrière les intérêts particuliers, la loi du plus fort, celle du plus riche. Voilà un programme de société pour le politique qui dessine l’avenir d’une population et le destin d’un territoire.